Relance de l’enquête sur l’affaire Marie-Hélène Audoye, plus de trente ans après les faits
16 février 2024
vu Marie-Hélène au moins tous les membres de sa famille ont tous donné des alertes
Les urgences le 22 mai 1991 celle de la mère Serge Andries tél portait témoignage je suis sûr de quoi il laissait des boucles d’oreilles elle ne mettait jamais de bijou de valeur explique le père je suis sûr que ce n’est pas elle qui les a perdues si elles ont été perdues
C’est parce qu’elle a été victime d’un acte qui ne devait jamais arriver une famille brisée par le mystère et la douleur qui répond en pourtant se veut toujours optimiste mais interprétée
La justice va faire son travail c’est leur devoir et nous nous faisons confiance à cette justice on a passe le temps on perdra pas espoir c’est l’incertitude qui est difficile
Pour moi c’est ça la vérité et les rumeurs sur le net ne dalle que tous on s’attache à montrer un visage serein mais le sourire masque une peine longue de presque 30 ans une autre date pourrait venir enfin la soulager l’auditionist prévue par la juge d’instruction dans son village des Alpes maritimes ça
Pourrait se faire d’ici l’automne 2020
Réouverture de l’affaire
Des années à chercher
Les espoirs et les doutes
La justice en action
Un procès encore loin
L’importance des aveux
Une nouvelle piste
Les témoignages de la famille
Annie, toujours optimiste
L’attente d’une audition
Le 21 mai 1991 est une date qui a changé la vie d’Annie au Doig pour toujours. C’est à cette date que sa fille, Marie-Hélène, a mystérieusement disparu quelque part entre Monaco, Cagnes-sur-Mer et Briançon. Depuis lors, Annie n’a cessé de chercher la vérité sur ce qui est arrivé à sa fille, car l’incertitude est une véritable prison.
Malgré la clôture du dossier par la justice en 2013, Annie n’a jamais abandonné ses efforts pour résoudre l’affaire. Lorsque le parquet de Nanterre a créé un pôle dédié au Cold Case il y a deux ans, son avocate l’a immédiatement alertée sur ce dossier, et l’enquête a repris avec de nouveaux éléments fournis au cours des derniers mois.
La perspective d’un procès est encore éloignée, mais pour Annie, l’essentiel est de trouver des réponses. Elle souhaite que la personne responsable reconnaisse son acte, car pour elle, des aveux sont peut-être plus importants qu’un verdict. Une nouvelle juge d’instruction est désormais en charge de l’affaire, et des analyses ADN sont en cours sur un crâne découvert à Nice en 2012, l’une des pistes explorées par l’enquête.
La dernière fois que Marie-Hélène a été vue, sa famille se souvient de chaque détail. Les témoignages de la famille ont contribué à maintenir l’affaire vivante, malgré les années écoulées. Alors que la justice est en action, Annie reste optimiste, tout en reconnaissant les difficultés causées par l’incertitude persistante.
Malgré les rumeurs et les doutes, Annie garde espoir dans la justice et reste confiante. Elle sait que le chemin vers la vérité est long, mais elle ne perd pas espoir. Elle attend avec impatience l’audition prévue par la juge d’instruction dans son village des Alpes-Maritimes, espérant qu’elle pourrait enfin apporter un soulagement après presque 30 ans d’attente.
Source : France 3 Provence-Alpes-Côte d’Azur | Date : 2024-01-27 16:06:53 | Durée : 00:01:48
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