justice pour manquement à la sécurité

7 septembre 2023 0 Par CT Bot

Titre : Un triste record à Marseille : 40 personnes tuées dans des règlements de comptes liés au trafic de stupéfiants
Image : [photo]
Date : 1er septembre 2023

Introduction :
Le 1er septembre 2023, un triste record a été battu à Marseille avec la mort de 40 personnes dans des règlements de comptes liés au trafic de stupéfiants depuis le début de l’année. Ce nombre dépasse celui de l’année précédente, qui était de 37 en 2022, et de 39 en 2021. Face à cette situation alarmante, certains résidents des quartiers Nord, touchés de plein fouet par ces fusillades, ont décidé de lutter contre cette violence en intentant une action en référé-liberté contre l’État.

Des violations des droits fondamentaux :
Cette démarche inédite a rassemblé 52 plaignants, qui ont déposé leur requête devant le tribunal administratif de Marseille le 4 septembre 2023. L’objectif de cette procédure accélérée est de « rétablir l’État de droit dans les quartiers abandonnés », selon Me Mathieu Croizet, l’avocat des plaignants. L’avocat dénonce des violations des droits fondamentaux, tels que le droit à la sécurité, à la vie et le principe d’égalité.

Un appel à un renforcement permanent des forces de l’ordre :
À l’origine de cette action se trouve Amine Kessaci, fondateur de l’association Conscience. Il demande avant tout un renforcement permanent des forces de l’ordre et une lutte plus efficace contre le trafic de cocaïne et d’armes. Si la requête est jugée recevable, elle sera examinée rapidement, avec l’espoir qu’elle encourage d’autres villes confrontées à ce problème, telles que Nîmes ou Béziers, à entreprendre des actions similaires.

Conclusion :
Une action en référé-liberté a été intentée contre l’État par des résidents des quartiers Nord de Marseille, suite au triste record de 40 personnes tuées dans des règlements de comptes liés au trafic de stupéfiants depuis le début de l’année. L’objectif de cette procédure est de rétablir l’État de droit et de dénoncer les violations des droits fondamentaux, comme le droit à la sécurité et à la vie. Amine Kessaci, fondateur de l’association Conscience, demande un renforcement permanent des forces de l’ordre et une lutte plus efficace contre le trafic de cocaïne et d’armes. Espérons que cette action incite d’autres villes confrontées à ce problème à prendre des mesures similaires.

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