Remise de la Palme d’or à Cannes : une victoire manquée pour Mohammad Rasoulof

Rasoulof, le grand espoir déçu

Le cinéaste iranien Mohammad Rasoulof aurait pu être le lauréat de la Palme d’or à Cannes, mais c’est finalement l’Américain Sean Baker qui a remporté le prix avec son film « Anora ».

Une électricité palpable dans la salle des conférences

Le vendredi matin, juste avant la remise des prix, l’espoir était grand pour « Les graines du figuier sauvage » de Rasoulof. Le suspense était à son comble face à la comédie de Jacques Audiard, « Emilia Perez ».

Un Prix spécial du jury comme consolation

Même si le film de Rasoulof n’a pas remporté la Palme d’or, il a reçu un Prix spécial du jury pour son oeuvre engagée sur les violences policières et les combats pour la liberté en Iran.

Une émotion palpable lors de la remise du prix

Sur scène, Rasoulof a exprimé la réalité du peuple iranien sous un régime oppressif. Son film, tourné dans la clandestinité, a ému le public et lui a valu deux standing ovations.

Une Palme d’or manquée, un geste politique manqué

La remise d’une Palme d’or aurait été un geste politique fort, surtout dans un festival censé dénoncer les oppressions faites aux femmes. La photo de George Lucas remettant le prix aurait eu une symbolique puissante.

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