Un procès mouvementé

Le vendredi 8 novembre 2024, la juge Gwenola Journot a été soumise à un interrogatoire serré par les avocats de la défense lors du procès concernant les viols à Mazan. Ces derniers lui reprochent des possibles erreurs dans l’instruction du dossier.

Une enquête sous pression

Depuis le début de l’affaire, la juge en charge de l’enquête a fait face à de nombreuses difficultés. Les avocats de la défense semblent remettre en question la manière dont elle a mené les investigations.

Des reproches de la part de la défense

Les avocats de la défense ont soulevé des points qui pourraient mettre en doute l’intégrité de l’instruction. Ils mettent en avant des possibles erreurs ou négligences dans le traitement du dossier.

Une juge critiquée

Gwenola Journot se retrouve donc au centre des critiques des avocats de la défense. Son travail et son professionnalisme sont remis en question, ce qui rend l’issue du procès incertaine.

La lourde charge de la juge

La juge Gwenola Journot doit désormais faire face à la pression des avocats de la défense et défendre ses actions lors de l’enquête sur les viols à Mazan. Son rôle dans cette affaire est crucial pour la suite du procès.

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